Author : admin_cib33
Parcours spirituel pour une conversion écologique avec Laudato Si
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2 journées les samedis 29 mars et 14 juin 2025 de 9h00 à 17h00
4 soirées de 20h00 à 22h30 les 10 avril, 7, 22 et 27 mai 2025
- Animation : Etienne Gueydon, Marie-Emmanuelle Beraud-Sudreau, Pascal Sirand-Pugnet et Xavier Maille
Vieillir : Galère ou chance?
Thème à venir
- 25 mars 2025 de 14h00 à 17h00
- Animation : Jean-Jacques Guillemot sj, Christine et Michel Regaud, Sr Viviane Villotte, Annie Delbousquet
Marcher et prier
- Tertre de Fronsac
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18 janvier 2025
Pour marcheurs débutants
- Animation : Thierry Balu, Véronique et Xavier Maille
- Dans les Pyrénées (vallée d'Aspe)
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Du 28 février (soir) au 6 mars 2025 (matin)
Pour randonneurs confirmés
- Animation : Olivier de Framond sj et une équipe
Exercices spirituels accompagnés
- Abbaye d'Echourgnac
- Retraite de 5 jours du 21 février 2025 à 18h00 au 27 février 2025 à 9h00
- Retraite de 8 jours du 21 février 2025 à 18h00 au 2 mars 2025 à 9h00
- Animation : CIB / Coteaux Païs et une équipe

Semaine Paroissiale de Prière Accompagnée – SEPPAC
Semaine de prière ouverte à tous et pas seulement aux paroissiens du secteur !
- Paroisse de Caudéran
- Du dimanche 1er décembre 2024 à 16h00 au samedi 7 décembre 2024 à 12h00
- Animation / Coordination : un père jésuite, Fançoise Normandin, Michel Sarrat et une équipe
- Paroisse du Sacré Coeur, Bordeaux
- Du dimanche 9 février 2025 à 16h00 au samedi 15 février 2025 à 12h00
- Animation / Coordination : Père Henri Duc-Maugé, Marie-Christine Ciotta et une équipe
- Paroisse Notre-Dame des Anges, Bordeaux
- Du dimanche 16 mars 2025 à 16h00 au samedi 22 mars 2025 à 12h00
- Animation / Coordination : un père jésuite, Marie-Cécile Frech, Thierry Balu et une équipe
Chemin de prière en paroisse – Prier à la manière ignatienne
Thème : Pèlerins de l’Espérance
– Faire l’expérience d’une prière et d’une relecture quotidiennes pendant 3 semaines.
– Un temps de prière quotidien avec un texte proposé.
– Chaque semaine, la découverte en groupe des manières de prier avec des moyens simples.
Coordination : Anne et Vincent Perron, Emmanuelle Beraud-Sudreau et une équipe
En plusieurs lieux :
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Secteur des Graves
Presbytère de Saint Médard d'Eyrans
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4 soirées
Mercredi 22 et 29 janvier, 5 et 12 février de 19h45 à 22h00
Animation : Anne et Vincent Perron, Philippe Nguyen et Véronique Maille
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Sud Gironde : Paroisse de Cadillac - Targon
Salle du presbytère, 7 place de la libération - 33410 Cadillac
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4 soirées de prière pendant le carême
Les mardis 18 et 25 mars, 1er et 8 avril 2025 de 19h00 à 20h30
- Animation : Père Richard Gay, Françoise et Jacques Berger, Jean-Marie Comets
- Secteur St Genès Nansouty - Paroisse St Vincent de PaulOratoire Saint Nicolas – 43 rue Saint Nicolas – 33000 Bordeaux
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4 soirées en semaine de Carême
Les lundis 17, 24, 31 mars et 7 avril 2025 de 15h00 à 16h30
Animation : Soeur Marie-Germaine Mazeran et une équipe
- Paroisse de Saint Joseph de Jalles
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Les 12, 19, 26 mars et 2 avril 2025 de 20h00 à 22h00
4 soirées pendant le Carême
- Animation : Pierre-Alain Lejeune, Marie-Emmanuelle Beraud-Sudreau
2023-2024 : Parcours spirituel pour une conversion écologique avec Laudato Si
- Une journée de démarrage le 6 avril 2024 à La Solitude à Martillac, 4 soirées (vendredi 12 avril, 3, 17 et 24 mai 2024 à Notre Dame des Anges), et une journée de clôture le 1er juin 2024 à La Solitude à Martillac
- Animation : Xavier et Véronique Maille, Etienne Gueydon, Marie-Emmanuelle Beraud-Sudreau, Pascal Sirand-Pugnet et Sylvie Euloge
Ce parcours vous intéresse mais vous hésitez encore ? Venez assistez à la présentation en ligne et posez directement vos questions à l’équipe organisatrice le 1er mars de 20h30 à 21h15!
Pour cela rien de plus simple :
– connectez-vous via le lien suivant https://us02web.zoom.us/j/88568599671?pwd=NzRDay9ZZkRJdk5hUHMrVjRjT0xqdz09
– flashez le QR code depuis votre téléphone
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2023-2024 En mars, chemin de prière à NDA, Saint Vincent de Paul et Saint Joseph des Jalles
Thème : Viens et suis moi
– Faire l’expérience d’une prière et d’une relecture quotidiennes pendant 3 semaines.
– Un temps de prière quotidien avec un texte proposé.
– Chaque semaine, la découverte en groupe des manières de prier avec des moyens simples.
Coordination : Anne et Vincent Perron, Emmanuelle Beraud-Sudreau et une équipe
En plusieurs lieux :
- Secteur St Genès Nansouty - Paroisse St Vincent de PaulOratoire Saint Nicolas – 43 rue Saint Nicolas – 33000 Bordeaux
- Les lundi 4, 11, 18 et 25 mars 2024 à 15h00
Animation : Soeur Marie-Germaine Mazeran et une équipe
- Paroisse Notre Dame des Anges
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Samedi 23 Mars messe et relecture à 10h00Lundi 4, 11 et 18 mars de 20h15-21h45
Eglise Notre Dame des Anges - BORDEAUX
- Animation : Marie-Cécile Frech, Thierry Balu et une équipe d'ignatiens
- Les mercredi 6, 13, 20 et 27 mars 2024 de 20h30 à 22h00
Animation : une équipe d’ignatiens
2023-2024 19 mars 2024 – Vieillir : galère au chance?
« Vieillir, galère ou chance? »
- 19 mars 2024 de 14h15 à 17h00 : Vieillir, un chemin de vie
- Animation : Jean-Jacques Guillemot sj, Christine et Michel Regaud, Viviane Villotte, Annie Delbousquet
2023-2024 11 au 17 février 2024 – Semaine de prière paroissiale accompagnée
Semaine de prière ouverte à tous et pas seulement aux paroissiens du secteur !
- Paroisse du Sacré Coeur, Bordeaux
- Du dimanche 11 février 2024 à 16h00 au samedi 17 février 2024 à 12h00
- Animation / Coordination : Père Henri Duc-Maugé, Marie-Cécile Frech et une équipe
2023-2024 2 au 4 février 2024 : Week-end « J’ai une décision à prendre »
- Du vendredi 2 février à 18h00 au 4 février 2024 à 17h00
- Animation : Georges Cottin sj et une équipe
» Votre cœur se réjouira et cette joie, nul ne pourra vous la ravir » (Jean 16,22)
SEPPAC - 2022
Depuis deux ans, dans la paroisse des Jalles, nous avons proposé une semaine de prière paroissiale accompagnée pendant le temps du carême avec l’aide des chemins ignaciens en bordelais. Cette démarche était inédite pour la plupart des paroissiens qui se sont lancés dans cette aventure pendant huit jours et je dois dire que ce fut pour moi, curé de la paroisse, une grande joie d’en discerner les fruits dans les mois suivants.
Parmi tous les témoignages recueillis à l’issue de cette semaine de prière accompagnée, celui qui m’a le plus réconforté est sans aucun doute les mots d’une paroissienne exprimant sa joie d’entendre la Parole de Dieu autrement : « Je découvre que dans l’Évangile, Dieu me parle ; et je n’ai pas forcément besoin qu’on me l’explique ou d’écouter une homélie pour l’entendre. Il me parle personnellement ». Quelle découverte fondamentale et décisive dans la vie spirituelle ! Bien entendu, cette étape demande par la suite d’être accompagnée et nourrie mais il me semble que lorsqu’on a fait cette expérience une première fois, il en reste un souvenir indélébile en nous. Si nous oublions souvent les expériences passées, en revanche, ce qui a été imprimé par l’Esprit Saint au fond de l’âme, ne s’efface jamais : cela reste dans notre mémoire profonde comme un trésor gagné pour toujours : « Votre cœur se réjouira et cette joie, nul ne pourra vous la ravir » (Jean 16,22).
Mais il est un autre fruit de cette semaine de prière accompagnée que je perçois même s’il est plus difficile à décrire. Car ce n’est pas un fruit dont témoigne tel ou tel participant à cette semaine ; c’est celui que je discerne, comme curé, dans la paroisse. Lorsque 30 paroissiens prennent ensemble le temps de se mettre à l’écoute de l’Esprit Saint, de prier et de prendre au sérieux leur vie spirituelle, cela rejaillit nécessairement sur toute la paroisse. Et comment pourrait-il en être autrement ? Si l’Église est – comme nous le croyons – non pas le rassemblement d’individus partageant la même foi mais véritablement un corps vivant irrigué par le même Esprit, alors il est inévitable que les grâces reçues par certains profitent à tous. Je l’ai véritablement expérimenté dans les mois qui ont suivi chacune de ces semaines de prière : à travers la grande paix ressentie dans les temps forts de notre paroisse, la ferveur renouvelée des célébrations dominicales, la fécondité des initiatives missionnaires. Voilà qui fait la joie d’un curé de paroisse et qui m’encourage à renouveler les propositions permettant à chacun de grandir dans sa vie de prière et son écoute de la Parole de Dieu.
Pierre-Alain
« Dieu me parle à travers la parole? »
SEPPAC - 2022
Dieu me parle à travers la parole ? Il m’a fallu attendre d’avoir 48 ans pour enfin comprendre ce que voulait dire cette phrase entendue et répétée. Oui, à travers la parole, Dieu m’enseigne ça je l’avais vécu… mais comment peut-il me parler ?
C’est lors de la première seppac en 2018 que j’ai enfin expérimenté cette vérité.
Oui, en faisant silence, au milieu de ma vie qui déborde de rencontres, d’activités, de joie et d’obligations, j’ai pu, en me laissant guider par mes accompagnateurs et l’expérience des jésuites, j’ai pu découvrir que Dieu vient véritablement éclairer ma vie quotidienne à travers les textes. C’est une expérience inouïe, une vérité que je souhaite vous partager aujourd’hui…
Mais comme je suis imparfaite (ce qui ne m’empêche pas d’essayer de tendre vers la sainteté !), je peine à garder ce dialogue au quotidien… il me faut des rendez-vous réguliers. C’est pourquoi ce rendez-vous d’amour avec Dieu qui est proposé par la seppac me permet chaque année de goûter de manière renouvelée cette expérience d’un dialogue en cœur à cœur avec le Seigneur. Merci à tous les organisateurs de la seppac pour cela, et je dis à chacun d’entre vous : faites-vous ce cadeau en prenant le temps de cette rencontre.
Marie-Cécile
« Mieux écouter les personnes victimes d’abus »
Formation pour les accompagnateurs du 11 au 13 janvier 2024
Sr. Marie-Bernard
J’ai pu suivre cette formation « Mieux écouter les personnes victimes d’abus » de 3 jours très denses. L’ambiance fraternelle et le découpage entre enseignement, partage en groupe, partage en tablée, films, a fait que le temps ne m’a jamais paru long. Dans les cas étudiés, basés sur des faits réels, le temps long concerne d’abord la structure (famille, communauté) qui refuse de voir, masque la réalité pour se protéger ou apporte des moyens inappropriés à la victime. Ensuite, il y a le temps long de l’accompagnement des victimes pour se reconstruire. En tant qu’accompagnateur, j’en ai retenu que je peux préparer le chemin de la victime en rappelant sans cesse qu’elle n’a aucune culpabilité à avoir, ni sur l’acte qu’elle a subi, ni sur les conséquences de sa reconnaissance. Car c’est bien cette reconnaissance du statut de victime qui va lui permettre de passer la vitesse supérieure dans sa reconstruction. De mettre au centre l’écoute des plus petits (les victimes), de prendre conscience de la violence du traumatisme subi et de ses conséquences, m’a paru un chemin profondément d’Evangile. Il a été réconfortant pour moi d’être dans ce lieu d’Eglise où cette vérité est défendue sans réserve. Oui, en faisant silence, au milieu de ma vie qui déborde de rencontres, d’activités, de joie et d’obligations, j’ai pu, en me laissant guider par mes accompagnateurs et l’expérience des jésuites, j’ai pu découvrir que Dieu vient véritablement éclairer ma vie quotidienne à travers les textes. C’est une expérience inouïe, une vérité que je souhaite vous partager aujourd’hui..Xavier, diacre et aumônier de prison
Lorsque les CIB ont lancé cette invitation à participer à cette formation, j’ai en fait réagi en deux temps : – un premier mouvement de recul et de saturation sur cette question récurrente et douloureuse car j’avais suivi, avec beaucoup d’attention via les chroniques et articles de fond du journal La Croix, les suites du rapport de la CIASE, les travaux de la CIVISE et lu jusqu’à l’écœurement et la nausée les révélations sur les frères dominicains Philippe, la communauté Saint Jean, les foyers de Charité, les Béatitudes, l’Arche, les jésuites Marko Rupnik et Maurice Joyeux etc… et je n’avais pas envie de me replonger sur ces séries de comportements lourds à accepter, impossibles à comprendre… et j’avais à ma disposition des tas d’excuses personnelles et familiales pour ne pas me lancer dans cette formation ! Ceci m’a conduit à retarder de jour en jour ma prise de décision. Le flyer d’invitation du CIB est resté longtemps sur mon bureau, en évidence mais c’est l’appel (répété !) de M-C. Ciotta qui m’a poussé à discerner en vérité ce qui me retenait pour m’inscrire ou non à la session …. Ce que je n’ai fait que peu de jours avant le début de la formation. En fait au delà de l’aspect formation «continue» pour les accompagnateurs, qui est assez naturel et nécessaire, dans la proposition de cette session, c’est bien la place centrale des victimes et l’importance de leur écoute qui a emporté ma décision : ce qui m’a alors paru déterminant n’était pas l’analyse de mes réactions personnelles en face de la réalité de ce phénomène, certes difficile à supporter, mais bien l’appel à entendre la priorité donnée a l’attention à apporter aux personnes (si nombreuses) ayant subies des violences et la nécessité de développer par une écoute renforcée ma propre sensibilité pour repérer, identifier et ensuite prendre en compte de la façon la plus délicate, appropriée et respectueuse leur souffrance. Bref j’ai reçu cet appel comme à la fois une mise en garde car dans l’accompagnement car nous touchons au « territoire sacré et massacré » d’une personne et comme la nécessité de me préparer à ces rencontres imprévisibles et par définition inattendues. Cette préparation a consisté au cours de la session à privilégier des temps de partages de paroles, par groupe de 5 -formant communauté- pendant ces 3 jours, précédés d’un temps de silence et de prière, pour écouter leur résonance avec ma propre expérience, après l’étude documentée de cas concrets d’abus et de films récents sur ces thèmes ; la méthode proposée qui reposait sur un cadre «quasi synodal» au sens premier, a permis d’apprendre de l’autre et des autres, bien sûr des connaissances comportementales, médicales, juridiques, psychologiques et sociales mais a fait aussi fait émerger pour moi, la nécessité d’une attitude d’humilité parfois silencieuse, mot qui est souvent revenu au cours de la session car les signes repérables sont souvent imperceptibles et se manifestent «à bas bruit» et sur un temps long ; ce concept de temps long, voire très long a été pointé dans quasiment tous les cas d’abus et films partagés et la contrepartie pour l’accompagnateur est la nécessité impérieuse de cultiver sa propre patience. Lors de la session m’a enfin frappé la grande négligence, finalement ambiante, voire la violence assez naturelle, à l’égard du second acteur des violences sexuelles, à savoir la personne qui a abusé, le prédateur : très vite s’est posé la question de la miséricorde, de la réconciliation, du pardon qui ont ouvert un champ de réflexion, ignoré par moi et par d’autres et suscité alors un lieu de réflexion, de conversion et de prière.Antoine